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  • JLThou

23 juillet -Etape 12: Dans la lande de l’île d’Andoya

Nous attendons toute la matinée que le vent se calme ( 60 km/h hier), au chaud de la cuisine du camping de Stave. Nous y échangeons des tuyaux avec un américain de 72 ans et un jeune couple de suisses qui montent vers le Cap Nord à vélo.


Le décor a beaucoup changé car l’île d’Andoya, bien que pourvue de reliefs escarpés dont nous devinons difficilement les sommets, déploie aussi de vastes étendues de landes sauvages agrémentées de petits étangs, ainsi que des plages de sable blanc. C’est un régal à vélo d’alterner entre cette lande et des passages à flanc de montagne, d’autant plus qu’il y a très peu de circulation sur la route empruntée. Les cyclo voyageurs se font également plus rares ( effet météo?).


Un intérêt du voyage à vélo est de rencontrer des locaux, par exemple dans les lieux de rencontres que sont les cuisines de camping, ou en dormant chez l’habitant. Jusqu’à présent nous avons trouvé les norvégiens assez fermés et peu accueillants, et toutes nos rencontres l’ont été avec des étrangers, principalement à vélo comme nous. Nous sommes donc ravis d’avoir rencontré à l’étape Nina et Merete, qui nous accueillent avec un verre de vin blanc et des baies arctiques. et nous parlent de leur village de Drobak.


La lande sauvage d’Andoya, au pied des montagnes



Etape courte et plate ( altitude maxi 26 m!)





La plage de sable blanc de Stave, typique du nord de l’île


Le soleil promis se fait attendre, cela donne des éclairages inquiétants


Petit phare au bord de la lande.


Avec Merete et Nina au camping





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